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Eternel paroxysme

5 janvier 2008

Emprisonnement interne

Tu dois te relever et retrouver l'espoir.
Essayer d'avancer pour que tu puisses croire. Que tu ne sois plus triste, que tu aies de la joie. Que le bonheur existe et que tu y as droit. Tu dois tourner la page, sortir de la spirale, Laisse-moi un passage avant qu'elle ne t'avale. Je briserai la pierre, j'en ai la volonté, Pour ôter ce calvaire que l'on t'as infligé. Tu ne verras plus flou, j'effacerai tes peurs, J'essuierai sur tes joues les larmes du malheur. Je détruirai ce mur qui recouvre ton cœur. Pour ne plus que tu endures toute cette douleur. Tu as raison sur un point, je n'ai rien à gagner, Mais ce n'est pas en vain, juste pour te prouver, Que le bonheur existe et que tu peux y croire, Alors ne sois plus triste et tu pourras le voir. Je te l'ai tant promis, tant de fois murmuré,
« Je serais pour la vie, présent à tes côtés » Tu es entré dans mon cœur pour soigner mes lésions, Alors n'ai plus la peur que je coupe les ponts. Tu en veux à la vie de t'infliger tout ça, Tu veux partir d'ici, je te garderai là. Je me bats contre un mur à vouloir te sauver, À vouloir un futur que tu puisses apprécier. Je me fous pleinement de ce que les gens pensent, Ils ont leurs éléments, mais moi j'ai ma conscience. Ils peuvent se garder pour eux leurs jugements, Je sais ce que je fais et ce que je ressens. L'apparence extérieure cache en fait un mal-être, mort de l'intérieur, Tu aimerais disparaître. Passe outre ta haine et tu liras en moi, Que derrière ma peine, je ne vis que pour toi.

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2 février 2007

Paroxysme

Je parcours la terre. Je traîne ici et là . Les pieds dans la poussière. ça fait 17 ans déjà . J'ai appris la peine. Je souffre ici et là . Au coeur la chaîne. ça fait 8 mois déjà . Je connais la haine. Je croise ici et là . Des violences la scène. ça fait déjà  trop longtemps. Je goûte à  l'amer. Je laisse ici et là . Le monde à  son calvaire. Mais les jours sans toi. Je ne les compte plus. A quoi bon tu me diras. J'y ai tout perdu. Le monde autour qui flirte avec le mur. L'amour qui côtoie l'égoïsme. Les peuples qui confrontent leurs cultures. Qui saura nous sauver ? Rivières de pleurs. Peuplent mes rêveries. Ame en peine à  court d'haleine Cherche saine résurrection sans damnation. Qui pourra nous sauver ? Les chaînes innombrables qui retiennent. La force d'un amour brut et sans fin. La passion d'une étreinte parfaite. Les jeux malsains dans l'ombre. Crains moi quand la nuit tombe. Trouve le venin qui coupera mon souffle. Car, de l'OMBRE je suis l'ange. Et du paradis l'EXILÉ. Larme à  l'oeil. Des jours anciens. L'arme au seuil. Tuer mon chagrin. Et filer contre le vent. L'écheveau des possibles. Frapper droit au coeur. Des errances inutiles. Caresser des idées noires. Etreindre les interdits. Se noyer dans l'absurde. Charmante tragédie. Et traîner contre le vent. Les amours impulsifs. Frappant droit le coeur. Des errances inutiles. Poisons de l'ambroisie. Je m'élève et me meurs. Du néant qui m'insuffle. La foi des jours meilleurs. Et saigner contre le vent. Les plaies au corrosif. Frappant fort un coeur. Plein d'errances inutiles. Déception et déchéance. Sont soeurs d'élection. Elles chantent et dansent. Sur les indications. D'un ego égoïste. Mégalopulateur. Aux relents pacifistes. Ô combien destructeurs. Et le sel dans les plaies. Qui nous ronge rouge pêcher. D'avoir su échapper. Aux enfers. Aux limites de l'espoir. Dans l'étreinte interdite. Je me noie. Vitalité furieuse. Au plus profond. De tes envies. Je m'accroche à  tes lèvres. Je suis, je fuis, je vis. Invincible. De l'explosion. De tes sourires. Je me nourris. De la fusion. De nos soupirs. Naît l'infini. Et notre amour. Ce vieux guerrier. Plein de sagesse. Découvre peu à  peu. Dans nos étreintes. L'ivresse. La passion, l'émotion Soeurs de tendresse. L'abandon, la rémission. Violentes faiblesses. Hoquets de douleur. D'une âme endeuillée. Tu t'écroules puis tu pleures. Les bonheurs envolés Jolies rimes. Qui n'y pourront rien changer. Un infime Baume aux lueurs des regrets. Profonds les parfums. Qui peuplent mes nuits. Le jour n'est qu'un chemin. Qui mène à  l'infini. De nos âmes enlacées. Au feu des interdits. S'éveillent les possibles. Et la mélancolie. Des jours heureux. De l'enfance. Où ne brûlait. Nulle souffrance. Dans les creux de ton corps. Au repli de ta chair. Je me noie Indicible enfer. Qui me laisse déchiré Vaincu et terrassé. Et priant les ombres. De te protéger. Mille couteaux. Mille désirs. Qui me tiennent Et m'attirent. Et Violence. Mon amant. Les visions Qui me hantent. Le sang étalé. Les hivers étoilés. Et puis toi mon amour. Oh toi mon détour. Fragile poème. De mon coeur tu es Le Refuge. La Vérité Ma soeur d'élection. La réponse aux questions Inavouées L'âme enlacée du désir infini. L'étoile du matin reine de mes nuits. Dévoilées. Une larme de sang. Pour étancher la soif. De ton coeur. Un sourire dément. Pour effacer la trace. Des erreurs. Un léger tremblement. Subtiliser la place. De la stupeur. Tu t'éloignes. Tu me crèves. Tu te soignes. De la trêve. Et fragile est le lien. Qui me tient à  la vie. Impossible la fin. Impensable l'oubli. Et courir à  en perdre. L'espoir. Oh courir à  en craindre. Les pouvoirs. Qui m'attirent. Et me brûlent. Aux violents. De tes sourires. De ton corps Et tes lèvres. Qui me tuent. Quand tu pars loin d'ici. Aux regards interdits. Tu te noies mon chéri. Pour l'arrêt. Sur image. Le silence. Dans l'orage Je t'exprime. A genoux. L'étendue. La passion Car d'un ange. Je suis l'autre. L'amant, l'ami. Le secours. Frôler les limites. Nulles forces m'invitent. J'ai replié mes ailes. Enlacés les possibles. Et brûler les réels. Lors de ces temps d'ennui. On s'est brûlé les ailes. Au feu des esprits. On déprime dans l'attente. Du verdict insolite. Et les craintes qui hantent. Les regards insoumis. La liberté de l'incertain. La nuit qui veille. Nos lendemains. Les chemins de fortune. Où j'entraîne mes espoirs. Aux reflets de tes lunes. Je les guide au hasard. Dans l'ombre j'attends. Le signal imprévu. Le retour de l'écho. L'heure de ta venue. Ces quelques larmes de sang. M'ont jeté à genoux. Devant toi mon rêve devant qui je ne cesse. De mes nuits l'ivresse. Exquise endorphine. Littérale cocaïne. D'un monde serein. J'hallucine. De l'aube jusqu'au soir. De janvier à  décembre. De la naissance à  la mort. Du début à  la fin. Je serais là . Toujours debout. À t'attendre. Si je suis fou. Ce n'est que de toi. De l'amour à la haine. Des sourires jusqu'au larmes. Du ciel à  l'enfer. Bénis sois tes charmes.

 

Je me meurs aux lueurs des espoirs insensés. Mes vérités font peur à  voir. Détours inutiles au rayon mercantile des intentions. Je scande à  perte mes émotions. J'invoque la furieuse apathie. De toi mon amour, mon ennemi. Je saigne mille douleurs, feins mille bonheurs Juste pour toi, encore une fois, juste pour toi. Je cours, à  bâtir du rien sur du néant. Le vide, le vide, le vide, le vide insondable. De notre amour, de nos raison. Et les illusions du futur. L'aube de notre aventure. Ne laisse de toi qu'un souvenir. Celui que tu aurais pu devenir. Nul autre que toi à  choisir. Les présents à  venir, la fin accélérée. En ces sombres instants. Où les plus purs sentiments. Frôlent leur paroxysmes. Côtoient les intérêts perversé. D'une oligarchie aux façades utopiques. Une autre histoire qui semble typique. Mais dans mon petit monde, tu es mon nouveau cataclysme.

 

À vrai dire je me fou de demain. Peu importe tant que tu es dans mon chemin. Je ne veux pas savoir la fin. Tant que j'ai toi, mon ange couleur cristalline. J'enmmerde sa doctrine divine. Qu'il le garde son jardin.

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